ENFER
En détresse dans le jardin des horreurs
Captive dans le désarroi de ton coeur.
Condamné au châtiment de tes gestes.
Dévorée par l'usure de ton langage infeste.
Dominance apparente.
Soumission jusqu'à la démence.
Illusion trompeuse.
Image sociale heureuse
En mon âme puanteur infecte.
Car morte est mon amulette.
Trop de souffrance sur cette Terre.
Que même le diable me fermerait ses barrières.
Super bon! On s'est parlé tantôt. J'ai tout lu ce qui est en ligne. Belle poésie! Significative! Hugues
RépondreSupprimertrès beau, très profond et tellement vrai. merci à toi
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